La monadologie

1. La Monade, dont nous substance simple, qui entre dans les composés; simple, c'est-à-dire sans parties.

2. Et il faut qu'il y ait des substances simples, puisqu'il y a des composés; car le composé n'est autre chose qu'un simples.

3. Or, là où il n'y a point de parties, il n'y a ni possible. Et ces monades sont les nature et en un mot les éléments des choses.

4. Il n'y a aussi point de aucune manière laquelle une substance simple puisse périr naturellement.

5. Par la même raison, il n'y a en aucune par laquelle une substance simple puisse commencer naturellement, puisqu'elle ne saurait être formée par composition.

6. Ainsi on peut dire que les monades ne sauraient commencer ni finir que tout d'un coup, c'est-à-dire elles ne sauraient commencer que par finir que par lieu que ce qui est composé commence ou finit par parties.

7. Il n'y a pas moyen aussi d'expliquer comment une monade puisse être intérieur par quelque autre créature, puisqu'on n'y saurait rien concevoir en elle aucun mouvement interne qui puisse être composés, où il y a des changements entre les parties. Les monades n'ont point de lesquelles quelque chose y puisse entrer ou sauraient se hors des substances, comme substance, ni entrer de monade.

8. Cependant il faut que les monades qualités, autre ment ce ne seraient pas même des êtres. Et si les substances simples ne point par leurs qualités, il n'y aurait pas moyen de s'aucun changement dans les choses; puisque ce qui est dans le composé ne peut venir que des simples; et les monades étant sans qualités seraient puisque aussi bien elles ne point en quantité: et par conséquent le plein étant lieu ne mouvement que l'état des choses serait indiscernable de l'autre.

9. Il faut même que chaque monade soit nature deux êtres qui soient parfaitement l'un comme l'autre et où il ne soit possible de trouver une différence interne, ou fondée sur une dénomination intrinsèque.

10. Je sujet au changement et par conséquent la monade créée aussi, et même que ce changement est chacune.

ensuit de ce que nous venons de dire que les changements naturels des monades principe interne, puisqu'une cause saurait intérieur.

12. Mais il faut aussi qu'principe du changement il y ait un détail de ce qui change, qui fasse pour ainsi dire la variété des substances simples.

13. Ce détail doit multitude dans l'unité ou dans le simple. Car tout changement naturel se degrés, quelque chose change et quelque chose conséquent il faut que dans la substance simple il y ait une rapports, quoiqu'il n'y en ait point de parties.

14. L'état enveloppe et représente une multitude dans l'unité ou dans la substance simple n'est autre chose que ce qu'on appelle la Perception, qu'on doit distinguer de l'suite. Et c'est en quoi les perceptions, dont on ne s'aperçoit pas. C'est aussi ce qui les a fait croire que les esprits étaient des monades et qu'il n'y avait point d'âmes des bêtes ni d'autres entéléchies et qu'ils ont étourdissement avec une mort à la rigueur, ce qui les a fait encore donner dans le âmes entièrement séparées et a même esprits mal âmes.

15. L'action du principe interne qui fait le changement ou le perception à une autre peut être vrai que l'saurait toujours entièrement à toute la perception où il perceptions nouvelles.

16. Nous expérimentons nous-mêmes une multitude dans la substance simple, lorsque nous moindre pensée dont nous nous enveloppe une variété dans l'objet. Ainsi tous ceux qui âme est une substance simple doivent multitude dans la monade; et Monsieur Bayle ne point y trouver de la Dictionnaire, article Rorarius.

17. On est ailleurs de perception et ce qui en raisons est-à-dire par les figures et par les mouvements. Et, machine, dont la structure fasse penser, perception: on concevoir mêmes sorte qu'on y puisse entrer, comme dans un expliquer une perception. Ainsi c'est dans la substance simple, et non dans le composé ou dans la machine qu'il la faut puisse trouver dans la substance simple, c'est-à-dire les perceptions et leurs changements. C'est en cela seul aussi que peuvent Actions internes des substances simples.

18. On pourrait donner le nom d'Entéléchies à toutes les substances simples, ou monades, créées, car elles ont en elles une perfection (rend actions internes et pour ainsi dire des automates incorporels.

19. Si nous appeler âme tout ce qui a perceptions et sens général que je viens d'expliquer, toutes les substances simples ou monades créées âmes; mais, comme le simple perception, je général de monades et d'entéléchies substances simples qui n'appelle âmes seulement celles dont la perception est plus distincte et mémoire.

20. Car nous expérimentons en nous-mêmes un état où nous ne nous aucune perception distinguée; comme lorsque nous aucun état l'âme ne point simple monade; mais comme cet état n'est point durable, et qu'elle s'en tire, elle est quelque chose de plus.

21. Et il ne s'ensuit point qu'alors la substance simple soit sans aucune perception. Cela ne se peut pas même par les raisons saurait périr, elle ne saurait aussi perception: mais quand il y a une grande multitude de petites perceptions, où il n'y a rien de distingue, on est continuellement d'un même sens plusieurs fois de suite, où il vient un distinguer. Et la mort peut donner cet état pour un temps aux animaux.

22. Et comme tout présent état d'une substance simple est naturellement une suite de son état tellement que le présent y est gros de l'avenir.

23. Donc, puisque étourdissement on s'aperçoit de ses perceptions, il faut bien qu'on en ait eu immédiatement auparavant, quoiqu'on ne s'en soit point aperçu; car une perception ne saurait venir naturellement que d'une autre perception, comme un mouvement ne peut venir naturellement que d'un mouvement.

24. L'on voit par là que, si nous n'goût dans nos perceptions, nous étourdissement. Et c'est l'état des monades toutes nues.

25. Aussi nature a donné des perceptions animaux, par les pris de leur organes qui plusieurs plusieurs union. Il y a quelque chose d'approchant dans l'goût et dans l'quantité d'autres sens, qui nous sont passe dans l'âme représente ce qui se fait dans les organes.

26. La mémoire espèce de âmes, qui raison, mais qui en doit être distinguée. C'est que nous animaux, ayant la perception de quelque chose qui les frappe et dont ils ont eu perception semblable auparavant, s'représentation de leur mémoire à ce qui y a été perception pris alors. Par exemple: quand on montre le bâton aux chiens, ils se souviennent de la douleur qu'il leur a causée et crient et fuient.

27. Et l'forte qui les frappe et vient ou de la grandeur ou de la multitude des perceptions souvent une forte fait tout d'un coup l'effet d'une perceptions médiocres réitérées.

28. Les agissent comme les bêtes en tant que les perceptions ne se font que par le principe de la mémoire; empiriques, qui ont une simple pratique sans empiriques dans les actions. Par exemple, quand on s'agit en raison.

29. Mais la connaissance des vérités nécessaires et éternelles est ce qui nous distingue des simples animaux et nous fait avoir la Raison et les connaissance de nous-mêmes et de Dieu. Et c'est ce qu'on appelle en nous âme esprit.

30. C'est aussi par la connaissance des vérités nécessaires et par leurs élevés aux actes réflexifs, qui nous font penser à ce qui s'appelle moi et à Etre, à la Substance, au simple et au composé, à l'Dieu même, en bornes. Et ces actes réflexifs raisonnements.

31. Nos raisonnements sont grands principes, celui de la contradiction en vertu duquel nous faux ce qui en enveloppe, et vrai ce qui est opposé ou faux.

32. Et celui de la raison suffisante, en vertu duquel nous aucun fait ne saurait se trouver vrai, ou existant, aucune véritable sans qu'il y ait une raison suffisante pourquoi il en soit ainsi et non pas autrement. Quoique ces raisons le plus souvent ne point nous être connues.

33. Il y a aussi deux vérités, celles de Raisonnement et celle de Fait. Les vérités de Raisonnement sont nécessaires et leur opposé est impossible, et celles de Fait sont contingentes et leur opposé est possible. Quand une vérité est nécessaire, on en peut trouver la raison par l'analyse, la idées et en vérités plus simples jusqu'à ce qu'on vienne aux primitives.

34. C'est ainsi que chez les pratique sont analyse aux axiomes et demandes.

35. Et il y a enfin des idées simples dont on ne saurait donner la axiomes et demandes ou en un mot, des principes sauraient être point besoin aussi; et ce sont les opposé contient une contradiction expresse.

36. Mais la raison suffisante se doit trouver aussi dans les vérités contingentes ou de fait, c'est-à-dire dans la suite des choses univers des créatures; où la raisons pourrait aller à un détail sans bornes à cause de la variété nature et de la corps à l'infini. Il y a une infinité de figures et de mouvements entrent dans la cause efficiente de mon infinité de petites âme, entrent dans la cause finale.

37. Et comme tout ce détail n'enveloppe que d'autres contingents chacun a encore besoin d'une analyse semblable pour en rendre raison, on n'en est pas plus raison suffisante ou dernière soit hors de la suite ou détail des infini qu'il pourrait être.

38. Et c'est ainsi que la dernière raison des choses doit être dans une substance nécessaire dans laquelle le détail des changements ne soit qu'source: et c'est ce que nous appelons Dieu.

39. Or cette substance étant une raison suffisante de tout ce détail, lequel aussi est partout; il n'y a qu'un Dieu, et ce Dieu suffit.

40. On peut substance universelle et nécessaire, n'ayant rien hors d'elle qui en soit étant une suite simple de l'être possible, doit être incapable de limites et autant de réalité qu'il est possible.

41. D'où il s'ensuit que Dieu est absolument parfait; la perfection n'étant autre chose que la grandeur de la réalité prise limites ou bornes dans les choses qui en ont. Et là où il n'y a point de bornes, c'est-à-dire en Dieu, la perfection est absolument infinie.

42. Il s'ensuit aussi que les créatures ont leurs perfections de l'influence de Dieu, mais qu'elles ont leurs nature propre, incapable d'être sans bornes. Car c'est en cela qu'elles sont distinguées de Dieu.

43. Il est vrai aussi qu'en Dieu est non seulement la source des celles des essences en tant que réel dans la possibilité. C'est parce que l'entendement de Dieu est la vérités éternelles ou des idées dont elles dépendent, et que sans lui il n'y aurait rien de réel dans les possibilités, et non seulement rien d'existant, mais encore rien de possible.

44. Car il faut bien que, s'il y a une réalité dans les essences ou possibilités, ou bien dans les vérités éternelles, cette réalité soit fondée en quelque chose d'existant et d'actuel; et par conséquent dans l'existence de l'Etre nécessaire, dans lequel l'existence, ou dans lequel il suffit d'être possible pour être actuel.

45. Ainsi Dieu seul (ou l'Etre nécessaire) a ce possible. Et comme rien ne peut possibilité de ce qui n'bornes, aucune conséquent aucune contradiction, cela seul suffit pour connaître l'existence de Dieu a priori. Nous l'avons réalité des vérités éternelles. Mais nous venons de la posteriori puisque des êtres contingents sauraient avoir leur raison dernière ou suffisante que dans l'être nécessaire, qui a la raison de son existence en lui-même.

46. Cependant il ne faut point s'imaginer avec quelques-uns que les vérités éternelles, étant Dieu, sont dépendent de sa volonté, comme Descartes paraît l'avoir pris et puis M. véritable que des vérités contingentes, dont le principe est la convenance ou le choix du meilleur; au lieu que les vérités nécessaires dépendent entendement, et en sont l'objet interne.

47. Ainsi Dieu seul est l'unité substance simple monades créées ou productions et naissent, pour ainsi dire, par des Divinité de moment en moment, bornées par la créature, à laquelle il est essentiel d'être limitée.

48. Il y a en Dieu la Puissance, qui est la source de tout, puis la Connaissance qui contient le détail des idées, et enfin la Volonté, qui fait les changements ou productions selon le principe du meilleur. Et c'est ce qui monades créées, fait le sujet ou la faculté faculté Dieu ces absolument monades créées ou dans les entéléchies (ou mot), ce n'en sont que des mesure qu'il y a de la perfection.

49. La créature est perfection, et Passion à la monade en tant qu'elle a des perceptions distinctes, et la passion en tant qu'elle en a de confuses.

50. Et une créature est plus parfaite qu'une autre, en ce qu'on trouve en elle ce qui sert à rendre raison a priori de ce qui se passe dans l'autre, et c'est par là qu'on dit qu'elle agit sur l'autre.

51. Mais dans les substances simples ce n'est qu'une influence monade sur l'autre qui ne peut avoir son effet que par l'Dieu, en tant que dans les idées de Dieu une monade demande avec raison que Dieu, en réglant les autres dès le égard à elle. Car, puisqu'une monade créée ne saurait avoir une influence physique sur l'intérieur de l'autre, ce n'est que par ce moyen que l'une peut avoir de la dépendance de l'autre.

52. Et c'est par là qu'entre les créatures les actions et Dieu, substances simples, trouve en chacune des raisons qui l'conséquent ce qui est actif à passif suivant un autre point de considération: actif en tant que ce qu'on connaît distinctement en lui sert à rendre raison de ce qui se passe dans un autre; et passif en tant que la raison de ce qui se passe en lui se trouve dans ce qui se connaît distinctement dans un autre.

53. Or, comme il y a une infinité d'univers idées de Dieu et qu'il n'en peut raison suffisante du choix de Dieu qui le détermine à l'un plutôt qu'à l'autre.

54. Et cette raison ne peut se trouver que dans la convenance, ou dans les degrés de perfection que ces contiennent, chaque possible ayant droit de existence à mesure de la perfection qu'il enveloppe.

55. Et c'est ce qui est la cause de l'existence du meilleur, que la sagesse fait connaître à Dieu, que sa bonté le fait puissance le fait produire.

56. Or cette créées à chacune et de chacune à toutes les autres, fait que chaque substance simple a des rapports qui conséquent un miroir vivant perpétuel de l'univers.

57. Et, comme une même différents paraît tout autre, et est comme même que par la multitude infinie des substances simples, il y a comme autant de différents univers, qui ne sont pourtant que les différents monade.

58. Et c'est le moyen d'obtenir autant de variété qu'il est possible, mais avec le plus grand ordre qui se puisse, c'est-à-dire c'est le moyen d'obtenir autant de perfection qu'il se peut.

59. Aussi n'grandeur de Dieu; c'est ce que Monsieur Bayle lorsque dans son Dictionnaire, article Rorarius, il y fit des même il fut croire que je Dieu, et plus qu'il n'est possible. Mais il ne aucune raison pour quoi cette harmonie universelle, qui fait que toute substance exprime rapports qu'elle y a, impossible.

60. On voit d'ailleurs dans ce que je viens de raisons a priori pourquoi les choses ne sauraient aller autrement. Parce que Dieu en réglant le tout a eu égard à chaque partie, et particulièrement à chaque monade, dont la nature étant saurait partie des choses, quoiqu'il soit vrai que cette représentation n'est que détail de tout l'univers, et ne peut être distincte que dans une petite partie des choses, c'est-à-dire dans celles qui sont ou les plus rapport à chacune des monades autrement chaque monade serait une Divinité. Ce n'est pas dans l'objet, mais dans la connaissance de l'objet, que les monades sont bornées. Elles vont toutes infini, au tout; mais elles sont distinguées par les degrés des perceptions distinctes.

61. Et les composés simples. Car, comme tout est plein, ce qui rend toute la matière plein tout mouvement fait quelque effet sur les corps mesure de la distance, de sorte que chaque corps est affecté non seulement par ceux qui le touchent, et se ressent en quelque moyen se ressent encore de ceux qui touchent les immédiatement: il s'ensuit que cette distance que ce soit. Et par conséquent tout corps se ressent de tout ce qui se fait dans l'tellement que celui qui voit tout pourrait lire dans chacun ce qui se fait partout et même ce qui s'est fait ou se présent ce qui est âme ne peut lire en représenté distinctement, elle ne saurait vont à l'infini.

62. Ainsi quoique chaque monade créée représente tout l'univers, elle représente plus distinctement le corps qui lui est affecté particulièrement et dont elle fait l'entéléchie: et comme ce corps exprime tout l'univers par la matière dans le plein, l'âme représente aussi tout l'univers en représentant ce corps, qui lui manière particulière.

63. Le corps monade, qui en est l'entéléchie ou l'âme, entéléchie ce qu'on peut appeler un vivant, et avec l'âme ce qu'on appelle un animal. Or ce corps d'un vivant ou d'un animal est toujours organique; car toute monade étant un miroir de l'univers à sa univers étant ordre parfait, il faut qu'il y ait aussi un ordre dans le représentant, c'est-à-dire dans les perceptions de l'âme, et par conséquent dans le corps suivant lequel l'univers y est représenté.

64. Ainsi chaque corps organique d'un vivant est une espèce de machine divine, ou d'un naturel, qui surpasse infiniment tous les automates machine faite par l'art de l'machine dans chacune de ses parties. Par exemple: la roue de parties ou machine par rapport à l'roue était machines de la nature, c'est-à-dire les corps vivants, sont encore machines dans leurs parties, jusqu'à l'infini. C'est ce qui fait la différence entre la Nature et l'Art, c'est-à-dire entre l'art Divin et le nôtre.

65. Et l'auteur de la nature a divin et infiniment portion de la matière n'est pas seulement infini, comme les reconnu, mais encore partie en parties, dont chacune a quelque mouvement propre, autrement il serait impossible que chaque portion de la matière univers.

66. Par où l'on voit qu'il y a un monde de créatures, de vivants, d'animaux, d'entéléchies, d'âmes dans la moindre partie de la matière.

67. Chaque portion de la matière peut être jardin plein de plantes, et comme un étang plein de poissons. Mais chaque plante, chaque animal, chaque tel jardin ou un tel étang.

68. Et quoique la plantes du jardin, ou l'poissons de l'étang, ne soit point plante, ni contiennent pourtant encore, mais le plus souvent d'une subtilité à nous imperceptible.

69. Ainsi il n'y a rien d'mort dans l'univers, point de chaos, point de étang à une distance dans laquelle on mouvement poissons de l'étang, sans poissons mêmes.

70. On voit par là que chaque corps vivant a une entéléchie dominante qui est l'âme dans l'animal; mais les corps vivant sont vivants, plantes, animaux, dont chacun a encore son entéléchie, ou son âme dominante.

71. Mais il ne faut point s'imaginer avec quelques-uns, qui avaient mal pris ma pensée, que chaque âme a une portion de la matière propre ou conséquent d'autres vivants corps sont dans un perpétuel comme des parties y entrent et en continuellement.

72. Ainsi l'âme ne change de corps que peu à peu et par degrés, de sorte qu'elle n'est jamais organes; et il y a souvent animaux, mais jamais âmes il n'y a pas non plus des âmes tout à fait séparées, ni de corps. Dieu seul en est entièrement.

73. C'est ce qui fait aussi qu'il n'y a jamais ni génération entière, ni mort parfaite prise à la rigueur, âme. Et ce que nous appelons appelons morts sont des enveloppements et des diminutions.

74. Les entéléchies, ou âmes, mais aperçu, par des plantes, les animaux, que les corps organiques de la nature ne sont jamais chaos ou d'une lesquelles il y avait sans doute quelque jugé que non seulement le corps organique y était déjà avant la conception, mais encore une âme dans ce corps, et en un mot l'animal même; et que par le moyen de la conception cet animal a été seulement grande animal d'une autre espèce. On voit même quelque chose d'approchant hors de la génération, comme lorsque les vers deviennent deviennent papillons.

75. Les animaux, dont quelques-uns sont élevés au degré des plus grands animaux par le moyen de la conception, peuvent être spermatiques; mais ceux d'entre eux qui espèce, c'est-à-dire la naissent, se grands animaux, et il n'y a qu'un petit élus, qui passe à un plus grand théâtre.

76. Mais ce n'était que la vérité: j'ai donc jugé que si l'animal ne commence jamais naturellement, il ne finit pas naturellement non plus; et que non seulement il n'y aura point de génération, mais encore point de entière, ni mort prise ~ la rigueur. Et ces raisonnements posteriori et parfaitement avec mes principes priori comme ci-dessus.

77. Ainsi on peut dire que non seulement l'âme, miroir d'un univers indestructible, est indestructible, mais encore l'animal même, quoique sa machine souvent en partie, et organiques.

78. Ces principes m'ont donné moyen d'expliquer naturellement l'union ou bien la âme et du corps organique. L'âme lois et le corps aussi les vertu de l'harmonie préétablie entre toutes les substances, puis qu'elles sont toutes les même univers.

79. Les âmes agissent selon les lois des causes finales par corps agissent selon les lois des causes efficientes ou des mouvements. Et les deux règnes, celui des causes efficientes et celui des causes finales, sont harmoniques entre eux.

80. Descartes a reconnu que les âmes ne peuvent point donner de la force aux corps, parce qu'il y a toujours la même quantité de force dans la matière. Cependant il a âme direction des corps. Mais c'est parce qu'on n'a point nature qui même direction matière. S'il l'avait système de l'harmonie préétablie.

81. Ce système fait que les corps agissent comme si, par impossible, il n'y avait point d'âmes; et que les âmes agissent comme s'il n'y avait point de corps, et que tous deux agissent comme si l'un influait sur l'autre.

82. Esprits ou âmes raisonnables, quoique je trouve qu'il y a dans le même chose dans tous les vivants et animaux, comme nous venons de dire, savoir, que l'animal et l'âme ne pourtant cela de particulier dans les animaux raisonnables, que leurs animaux spermatiques, tant qu'ils ne sont que cela, ont ment des âmes ordinaires ou sensitives; mais dès que ceux qui sont élus, pour ainsi dire, conception à la nature âmes sensitives sont degré de la raison et à la esprits.

83. Entre autres âmes ordinaires et les esprits, dont j'en ai déjà partie, il y a encore âmes en général sont des vivants ou images de l'univers des créatures; mais que les esprits sont encore des images de la Divinité même, ou de l'Auteur même de la nature: capables de connaître le système de l'univers et d'en esprit étant comme une petite divinité dans son département.

84. C'est ce qui fait que les esprits sont capables d'entrer dans une manière de Dieu, et qu'il est à leur égard, non seulement ce qu'un machine (comme Dieu l'est par rapport aux autres créatures), mais encore ce qu'un même un père à ses enfants.

85. D'où il est Esprits doit Cité de Dieu, c'est-à-dire le plus parfait Etat qui soit possible sous le plus parfait des Monarques.

86. Cette Cité de Dieu, cette véritablement universelle est un Monde Moral, dans le Monde Naturel, et ce qu'il y a de plus divin dans les Dieu; et c'est en lui que véritablement la Dieu, puisqu'il n'y en aurait point si sa grandeur et sa bonté n'étaient pas connues et esprits; c'est aussi par rapport à cette cité divine qu'il a bonté, au lieu que sa sagesse et sa puissance se partout.

87. Comme nous avons ci-dessus une harmonie parfaite entre deux règnes naturels, l'un des causes efficientes, l'autre des finales, nous harmonie entre le règne physique de la nature et le règne moral de la grâce, c'est-à-dire entre Dieu considéré comme architecte de la machine de l'univers, et Dieu considéré comme cité divine des esprits.

88. Cette harmonie fait que les choses grâce par les voies mêmes de la nature et que ce voies gouvernement des esprits; pour le châtiment des récompense des autres.

89. On peut dire encore que Dieu comme architecte Dieu comme doivent ordre de la nature, et en vertu même de la structure même les actions s'voies rapport aux corps; quoique cela ne puisse et ne arriver toujours sur-le-champ.

90. Enfin sous ce gouvernement parfait il n'y aurait point de bonne action sans récompense, point de châtiment, et tout doit est-à-dire de ceux qui ne sont point des Etat, qui se Auteur de tout bien, se considération de ses perfections suivant la nature du véritable, qui fait sages et paraît volonté divine Dieu fait arriver volonté ordre de l'univers, nous surpasse tous les sages, et qu'il est impossible de le rendre meilleur qu'il est, non seulement pour le tout en général, mais encore pour nous-mêmes en particulier, Si nous sommes Auteur du tout, non seulement comme à l'Architecte et à la cause efficiente de notre être, mais encore comme à notre cause finale qui doit faire tout le volonté, et peut seul faire notre bonheur.